Dimanche 7 septembre 2008
Les éches artistiques, études et problèmes, apparaissent véritablement au début du XIXe siècle. Mais précédemment des jalons ont été posés, notamment par Philippe Stamma et Philidor*, sous la forme d'exercices sur des finales délicates ou des situations apparemment désespérées sauvées... en dernière extrémité.
Originellement, les positions semblaient vraiment issues de parties.
Pour revenir un peu à l'esprit des antiques, deux études.
Ladislav Prokeš pose la question suivante : comment gagner ?
1.Re8-e7 Rg6-h7 suivi de 2...Fb3xe6 avec la nullité assurée ou 1.Re8-d7 Rg6-h7 2.e6-e7 Fb2-a4+ suivi de 3.Rh7xg8 et enfin sur 1.e6-e7 les noirs répliquent 1...Fb3xg8 et le fou doit pouvoir contrôler la case de promotion, non ?
Emilian Dobrescu, quant à lui, veut démontrer qu'un pion en sixième vaut une tour. Est-ce bien vrai ?
Les éches artistiques, études et problèmes, apparaissent véritablement au début du XIXe siècle. Mais précédemment des jalons ont été posés, notamment par Philippe Stamma et Philidor*, sous la forme d'exercices sur des finales délicates ou des situations apparemment désespérées sauvées... en dernière extrémité.
Originellement, les positions semblaient vraiment issues de parties.
Pour revenir un peu à l'esprit des antiques, deux études.
Ladislav Prokeš pose la question suivante : comment gagner ?
1.Re8-e7 Rg6-h7 suivi de 2...Fb3xe6 avec la nullité assurée ou 1.Re8-d7 Rg6-h7 2.e6-e7 Fb2-a4+ suivi de 3.Rh7xg8 et enfin sur 1.e6-e7 les noirs répliquent 1...Fb3xg8 et le fou doit pouvoir contrôler la case de promotion, non ?
Emilian Dobrescu, quant à lui, veut démontrer qu'un pion en sixième vaut une tour. Est-ce bien vrai ?
* Voir l'étude de Philidor publiée le 22 juin dans ces colonnes.
Les archives... et vos commentaires à Patrick l'Ancien
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